De nombreuses réactions à chaud suite à mon testament numérique, Nicolas Dubois me demandant mon sentiment après son écriture, Nicolas Perriault trouvant ça glauque et j'ai même foutu les jetons à Bruno Bord.
La meilleure définition d'un Homme que j'ai est la suivante :
Animal ayant conscience de sa mort (vs. survie).
C'est le moment où les premiers hominidés ont commencé à prendre conscience du caractère fini de leur vie (premières cérémonies funéraires) qu'ils ont cherché à lui donner un sens et qu'ils ont développé leur intelligence pour mieux sur-vivre à leur environnement. En publiant ce testament, j'ai eu le sentiment de devenir un Homme numérique, de vouloir donner un sens à ma présence sur le Web.
J'ai aussi eu des remarques sur le fond de la part de Karl Dubost puis Éric D. :
après moi… qui gère ? — Karl
Je me demande dans quelle mesure la personne héritant peut à son tour transmettre cette responsabilité à son héritier, ce qui pourrait être une responsabilité cumulée lourde à porter au fil du temps. À méditer.
l'obligation de la mention de brouillon entre en conflit avec la notion du domaine public — Éric
Tout à fait, j'ai modifié le paragraphe en question pour éviter ce conflit.
il me manque l'attribution de copyright des codes open source (parce que une licence peut avoir besoin de changer) — Éric
Oh, bien vu ! J'ai également ajouté une phrase à ce sujet.
Merci pour vos réponses, n'hésitez pas à vous inscrire sur la liste de diffusion pour en discuter. Le trafic est pour l'instant très faible mais je continue l'expérience :-).