C'est pour la nouvelle année que les locaux de Yaal ont fait peau neuve. En faisant appel à l'agence Hivoa, la start-up a souhaité un espace design, convivial et confortable. L'investisseur technique est présent dans le quartier de la Victoire depuis 2014.
Yaal est un tech angel qui s'associe à des projets prometteurs et éthiques, partage le risque avec eux et développe leur solution web et/ou mobile.
L’équipe compte une vingtaine de personnes et regroupe différents métiers : développeurs, designers, graphistes, chefs de projet, communicants et commerciaux. Lors de sa création en 2010, la start-up a été incubée à l'Auberge numérique ainsi qu’à la pépinière éco-créative des Chartrons.
Yaal a acheté ce local de 140m² dans le quartier Saint-Michel en 2014. Il était important de s'implanter au coeur de la ville, pour le confort des équipes mais aussi parce que l’entreprise accueille régulièrement des événements de l'écosystème du numérique ou liés à l'ESS (Économie Sociale et Solidaire).
Les fondateurs on fait appel à l'agence Hivoa, parce qu’ils aimaient leur travail, partageaient la même vision et aussi parce qu'ils sont du cru. D'ailleurs tous les artisans qui sont intervenus sont bordelais. Yaal souhaite être acteur de l'économie locale.
Différents espaces ont été aménagés : deux openspaces accueillants chacun une dizaine de postes de travail, une cuisine, un garage à vélo vertical et en sous-sol, une grande salle de réunion, une cuisine et un espace « chill-out » et visio-conférence.
Le bien-être des équipes est ici une priorité : l'environnement de travail contribue à l'épanouissement.
Le confort d'abord, avec des postes de travail ergonomiques, des matériaux naturels et de qualité, des équipements high-tech, etc.
Mais la start-up va plus loin en visant le zéro-déchet, elle recycle et composte au maximum.
Quelles sont les prochaines étapes pour Yaal ?
Victime de son succès Yaal va devoir bientôt pousser les murs ! En perpétuel recrutement de talents, le tech angel cherche à étendre ses locaux pour accueillir une dizaine de personnes supplémentaires sur l’année 2018.