[protractileaigu] Printemps: Python Graphdb Solution

Preface

C'est pas mon genre de faire des press-release. Il paraît même d'après REWORK de Jason Fried et David Heinemeier Hansson, que c'est mal! Mal n'est pas le mot, mais les auteurs expliquent qu'ils ont reussit leurs affaires sans jamais avoir à faire de déclaration publique et que le simple bouches-à-oreilles et la qualité de leurs produits ont permis de construire leur réseau de client et devenir l'entreprise qu'elle est aujourd'hui.
Faire la promotion de son projet, ses idées et ses intentions peut passer pour du raccolage. Du «marketing» pour dire le mot. Peut-être est-ce à cause de cette omni-presence de l'aura d'Apple qui d'une part avec le secret quelle entretiens avant de rendre ses produits disponibles et d'autre part la grandiloquence de leurs «livraisons» rend les gens frileux à reproduire ce schéma et subir les colibets venant des deux parties de la tranché. Apple n'est pas la seule à faire ça, c'est une pratique courante dans l'informatique. Le marketing est aussi un des gros mots du XXIe, qui en dehors des cercles très fermés des gens aux carnets d'adresses bien fournis, attire peu de gens. Peut-être aussi à cause de l'autre grand maux de notre siècle: Google; qui à travers sont modèle gratuit d'une part et l'utilisation de la publicité comme méthode de financement d'autre part a par achevé notre héritage du XXe en rendant ce métier et sa pratique détestable dans certains cercles.
Interlude, si il est en est:

publicité
(Mercatique) Action, fait de promouvoir la vente d'un produit en exerçant sur le public une influence, une action psychologique afin de créer en lui des besoins, des désirs ; ensemble des moyens employés pour promouvoir un produit.

Ou encore:

marketing
(Économie) Discipline qui cherche à déterminer les offres de biens et services en fonction des attitudes des consommateurs et à favoriser leur commercialisation. 

Ça peut faire froid dans le dos, d'autant plus quand on sait que l'éléphant-robot mangeur de big-data est dans le coin, que les neurosciences font des progrès extraordinaires, sans compter les dirigeant dont la logique productiviste et/ou financière n'a pas évolué et les algorithmes qui peuvent manger toujours plus de données.

One of two new female ostriches at Phila. Zoo. by-nc-nd

Il y a donc bien plus grave!...
De même, à cause ou grâce à Google, Facebook et d'autres, la forte progression du logiciel libre dans l'industrie a fait perdre la crédibilité du logiciel libre non-commerciale, non-professionnel, le logiciel de passion, le logiciel d'amour... c'est bon j'arrête là.
C'est devenu tellement facile de diffuser des idées, de créer un logiciel, le partage du savoir ne faisant plus partie des priorités, toute extra-version passant pour extravagance, la création financière ou non semble être devenu un non-évènement qui attire tellement peu que je vois peu ou pas de projet faire apparition dans mes flux. Ou je suis simplement parano, enormement sur la défensive, probablement mal connecté et aussi surement déçu d'avoir peu de retour. J'imagine certains en porte-à-faux, je m’excuse auprès de certains. Il peut aussi s'agir de la peur de perdre en crédibilité sociale et/ou professionnel et/ou de ne pas être tombé dans le chaudron étant petit.

Good  for you

Snowdrops by-sa «The first flowers of the season! I am so ready for Spring!!»

Après avoir expérimenté avec les bases de données dans le cadre du développement web avec Graffiti et Omak sont API/langage de requetage, mettre convaincu de la puissance de modélisation des graphdb [1][2] ainsi que de la possibilité que les requêtes soient plus performantes, d'une implémentation en pure python d'une base de donnée MVCC dont par ailleurs je ne connais ni l'exactitude, ni la justesse, une implémentation à l'aide de ZODB et des bindings de Neo4j un peu plus rapide, une application Web. Je pense qu'il vaut mieux encapsulé Blueprints en Python. Et ceci pour plusieurs raisons: